Lorsque l'on travaille dans le journalisme, adhérer à une assurance de prêt immobilier peut relever du défi. Les compagnies d'assurance estiment en effet qu'il s'agit d'un métier à risque. Solutis vous propose de vous accompagner dans la recherche de votre contrat.
Si vous pratiquez le métier de journaliste, la souscription d'un contrat d'assurance emprunteur peut présenter des difficultés. Cette profession étant considérée comme à risque par les assureurs, ces derniers peuvent appliquer une surprime ou des exclusions de garantie au contrat. Il arrive même qu'ils s'opposent à une demande d'assurance.
Dans le cadre de l'exercice de leur métier, les journalistes peuvent être conduits à se trouver dans des situations plus dangereuses que la normale. Ils sont ainsi susceptibles d'effectuer des déplacements sur le territoire français ou encore à l'étranger. En outre, ils sont parfois au cœur des événements les plus violents tels que les catastrophes naturelles, les conflits armés, les accidents ou les attentats. Cela concerne tout particulièrement les reporters de guerre ou les journalistes d'investigation.
Le journaliste subit également un rythme de travail intense, puisqu'il doit faire preuve d'une grande disponibilité selon les événements couverts. Il doit montrer une grande résistance au stress, étant donné qu'il est souvent confronté à des informations sensibles, voire traumatisantes. Le journaliste peut donc avoir une santé mise à rude épreuve, qui est un critère évalué par les assureurs.
Mais il y aussi des risques qu'il soit exposé à des menaces de la part des personnes sur lesquelles il est amené à faire des investigations. Le risque de blessure ou d'enlèvement est également très élevé dans les pays dangereux. Tout ceci contribue à rendre ce métier comme étant risqué pour l’assurance de prêt immobilier.
En tant que journaliste, il est judicieux de faire le choix d'une assurance comprenant une couverture intégrale. Celle-ci va comporter alors à la fois les garanties essentielles et des garanties complémentaires.
La garantie décès vise à assurer le remboursement du capital restant dû en cas de décès de l'assuré. Face à l'impossibilité de continuer à exercer son travail ou à la nécessité de se faire assister, le journaliste peut compter sur la garantie perte totale et irréversible d'autonomie (PTIA). Si une invalidité à plus de 66 % survient, c'est la garantie invalidité permanente et totale qui intervient.
En plus de ces garanties essentielles, le journaliste peut aussi inclure dans son assurance des garanties complémentaires. Il peut s'agir notamment de l’invalidité permanente et partielle destinée à couvrir une invalidité comprise entre 33 et 66 %. La garantie perte d'emploi a quant à elle pour objectif de pallier une situation de licenciement, elle reste toutefois très coûteuse. Enfin, la garantie d’incapacité temporaire et totale de travail se révèle utile en cas d'un arrêt de travail de longue durée. Il peut s'agir d'une maladie ou d'une blessure, entre autres.
Le journaliste est tenu de remplir un questionnaire médical pour pouvoir souscrire une assurance de crédit immobilier. Il convient de noter que chaque journaliste n'est pas exposé aux mêmes risques professionnels. Ceux-ci seront ainsi très différents pour un présentateur de télévision et pour un reporter de guerre ou un journaliste à l'étranger. Ce questionnaire doit faire l'objet d'une grande attention, dans la mesure où l'assureur se base sur celui-ci pour apporter une protection en rapport avec les risques encourus.
Il faut notamment communiquer des informations sur :
Plusieurs cas de figure peuvent se présenter à la suite de l'examen de ce questionnaire par l'assureur. Celui-ci peut proposer une offre avec une cotisation normale ou avec une surprime. La formule peut également comporter des exclusions de garantie.
Si l'assureur estime que les risques à couvrir sont trop importants pour lui, il peut aussi refuser d'accéder à la demande. Solutis peut alors intervenir pour aider les journalistes à trouver plus facilement une assurance emprunteur.
Cependant, cette déclaration de santé ne concerne que les prêts immobiliers dont le montant excèdent 200 000 euros. Ce montant s'applique à chaque co-emprunteur, ce qui signifie qu'il peut atteindre 400 000 euros pour un ménage.
Bien que ce ne soit pas une obligation, les banques n'accordent un prêt immobilier que si celui-ci est associé à une assurance emprunteur. Mais, rien n'impose de souscrire l'assurance groupe de la banque prêteuse. Une autre solution consiste à s'adresser à un autre organisme d'assurance : c'est ce que l'on appelle la délégation d'assurance, qui peut être réalisée avec l’aide de notre équipe de confiance.
Entrée en vigueur en 2010 dans le cadre de la loi Lagarde, cette mesure permet de dénicher une assurance adaptée à sa situation. En l'occurrence, les journalistes peuvent ainsi avoir accès à une assurance prenant en compte leurs besoins spécifiques, et éventuellement à un tarif avantageux. Néanmoins, la délégation d'assurance est acceptée par la banque prêteuse à la condition que celle-ci prévoit au moins le même niveau de garantie.
Grâce à la loi Lemoine de 2022, l'emprunteur peut décider de changer d'assurance à n'importe quel moment. Il est ainsi possible pour un journaliste de mettre en concurrence plusieurs établissements d'assurance, afin d'obtenir le meilleur tarif possible et un coût total réduit.
Que ce soit pour assurer un nouvel emprunt ou changer de contrat, il suffit de réaliser une demande d'assurance de crédit sur notre formulaire, un conseiller vous contactera dans les 24h.
Rédigé par Mathieu Dubuffet - Rédacteur expert de Solutis
Mis à jour le 20/10/2023
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