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Les consommateurs peuvent profiter de programmes de cashback donnant accès une réduction sur leurs achats. En fonction du bien ou du service commandé, la rétro-commission peut grimper jusqu’à 10 %.
Le cashback fait de plus en plus d’émules en France. Si le mot ne vient pas tout de suite à l’esprit, il s’agit pourtant d’une pratique plus connue sous le nom de rétro-commission. En clair, lors d’un achat en magasin ou sur une boutique en ligne, le consommateur va recevoir en « cadeau » un pourcentage sur cette commande. Cette part peut s’échelonner jusqu’à plusieurs pourcents selon les enseignes. Par exemple, auprès d’un magasin d’électroménager promettant 1 % de cashback, l’achat d’un ordinateur de 1 000 euros pourra déboucher sur rétribution de 10 euros.
En clair, plus le consommateur réalise d’achats, plus les sommes de cashback seront importantes. L’incitation à la consommation est donc de mise. Néanmoins, cette ristourne n’est pas totalement désintéressée de la part des enseignes puisque ces dernières limitent l’usage des gains accumulés. En effet, pour se servir de sa réserve de cashback, il sera nécessaire de la dépenser dans ladite enseigne.
Attention, ces offres ne sont pas ouvertes à tous. En effet, il faut être titulaire de la carte de crédit du magasin pour en profiter. Il s’agit en fait d’une forme de crédit renouvelable qui générera des frais. La vigilance doit donc être de mise avant de se lancer dans ce genre d’opération de cashback. De plus, la presse économique ajoute un point important en précisant qu’au-delà d’un certain délai, les crédits peuvent ne plus être valides. Enfin, pour obtenir cette carte qui ouvre droit au cashback, il est nécessaire de verser une cotisation à l’établissement bancaire lié à l’enseigne.
Selon un cadre de la grande distribution, les Français peuvent prétendre à un cashback annuel de 90 euros annuels, en moyenne. L’intérêt des consommateurs tricolores pour cette nouvelle forme de « ristourne » déjà très populaire Outre-Atlantique n’a pas échappé aux banques classiques.
Il n’est donc pas surprenant de voir se multiplier les offres de cashback de la part des établissements bancaires. Ainsi, au gré des partenariats noués entre la banque et les commerces, le titulaire d’une carte bancaire pourra prétendre à des cashbacks auprès des enseignes partenaires. Ici, le cumul des gains peut être viré sur le compte en banque du client dès qu’une somme est atteinte (par exemple 20 euros). Ici, l’objectif des banques est clair, à savoir fidéliser leur clientèle notamment celle des Millenials qui sont particulièrement volatils et friands des offres de cashback en ligne.
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