Diminuer mes mensualités
Financer un nouveau projet
Une publication de la fédération des banques fait état que 50% des ménages étaient à la tête d’au moins un crédit l’année dernière.
Les ménages Français sont favorables à se diriger vers des solutions de crédit pour financer leurs projets. En effet, le taux de détention d’au moins un crédit semble le démontrer. En 2018, la Fédération Bancaire Française (FBF) estime que 47,8% des foyers remboursaient au minimum un emprunt contracté auprès d’un organisme financier. Et le territoire tricolore affiche une dynamique plus soutenue par rapport à la zone euro, avec en moyenne 20 milliards d’euros supplémentaires débloqués chaque mois sur le marché des particuliers.
En additionnant les crédits des ménages ainsi que ceux contractés par l’ensemble des professionnels, l’encours se chiffre à 2 416 milliards d’euros. Sur la totalité accordée dans l’économie Française, la propension destinée aux particuliers est d’environ 1 sur 2 soit 1 225 milliards d’euros. En l’espace d’une seule année, la courbe des crédits parvient à progresser de 5,7%. Mais sur 10 ans, l’évolution est encore plus significative avec une augmentation de 39% de l’encours global.
Comment expliquer une telle progression depuis 2018 ? Déjà, le contexte se montre extrêmement favorable pour inciter à l’endettement. Depuis quelques années, les taux d’emprunt se sont fortement repliés et les ménages en ont profité pour financer notamment leurs projets immobiliers. Même à l’heure actuelle, où une remontée est prédite depuis quelques mois déjà, les taux demeurent toujours dans une phase immobile. Ils se sont bien rehaussés dans une faible propension qui cible majoritairement les emprunteurs aux revenus modestes. Ceux bénéficiant d’un profil évolué sont encore en mesure d’obtenir des conditions attrayantes.
De plus, les établissements bancaires ont réduit leurs exigences pour accorder des prêts aux ménages. L’objectif est de parvenir à soutenir l’activité. Pourtant, les banques sont en mesure de maîtriser plus efficacement les risques en diminuant son coût chaque année. Depuis 2011, elles ont réussi à réduire cet indicateur de 18% en passant de 22,6 à 8,4 milliards d’euros en 2017. Une plus forte régulation des autorités des contrôles et des mesures en vigueur suite à la crise économique de 2008 peuvent expliquer ce recul.
Mais les établissements se montrent également plus vigilants lors de l’analyse d’un profil pour prendre la décision de financer un dossier. Même si elles ont tendance à accorder des crédits à l’habitat durant une plus longue période pour ouvrir l’emprunt aux ménages modestes. D’où une nette augmentation de la durée moyenne de remboursement qui a atteint 230 mois début 2019. Un record historique qui inquiète les autorités de contrôle sur le coût du risque dans le futur.
Enfin, face à l’accumulation de crédits, les ménages peuvent cependant éprouver des difficultés à les rembourser sereinement chaque mois. Or, le rachat de crédit peut être un moyen de recouvrer à une stabilité. Cette opération bancaire va regrouper tous les types de prêts d’un foyer pour former une unique mensualité prélèvement une fois par mois. En plus de rendre la gestion financière plus simple, cette nouvelle mensualité peut se réduire jusqu’à 60% pour se fixer à un montant en cohérence avec les revenus des emprunteurs. Une simple demande auprès d’un professionnel en regroupement de crédits tel que Solutis peut donner lieu à une étude de faisabilité gratuite et sans engagement.
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